At the end of 2023, the Federal Council furthermore decided, in spectacular haste, to fast-track and implement specific provisions of the revised law. New Environment Minister Albert Rösti (SVP) spelled out what this meant in practice: from 1 December 2023 to 31 January 2024, the cantons with a wolf population were allowed to kill a total of 12 packs and partially cull six more. The other 12 packs were to be left untouched. The response was immediate, with 800 hunters in Valais requesting further instructions on how to proceed with the wolf hunt.
The courts throw a spanner in the works
The start of the hunt shook three nature conservation organisations out of their shock-induced paralysis. They launched objections to some of the pack culling authorisations granted by the Federal Council and met with a measure of success: on 3 January 2024, the Federal Administrative Court confirmed, halfway through the big wolf hunt, that the objections would postpone the cull. The hunt, or part of it at least, was suspended. The legal argument on which the ruling is based centres on irreversibility: if a wolf is shot, the wolf is dead; if the court subsequently decides the shooting was not legal, the wolf cannot be brought back to life. Death is final.
The interim ruling by the Federal Administrative Court applied the brake to the hasty measures adopted by the Federal Council. At time of publication, the court’s final decision was still pending. Still, whatever the judges decide, one thing is for sure. During the December/January window, over 50 of Switzerland’s 300 wolves were killed, or one sixth of the population.
Comments
Comments :
On pourrait commencer par noter un article écrit par un pro loup qui manque de retenue. Pour mémoire un journaliste se doit de donner la parole à tous les partis concernés et là j'ai comme l'impression que cette règle élémentaire n'a pas été respectée.
Bien des sujets tourne autour du loup, la réintroduction, les hybrides, la protection inefficace, la désertification des campagnes car les jeunes ne veulent plus s'orienter vers le métier qui autrefois était le plus beau métier du monde, la pertinence et validité des informations diffusées, les relations villes/camapagnes, la volonté de certains de développer des parcs protégés au dépend des surfaces agricoles ou d'élevage, la compensation carbone qui est déjà à bout de souffle, la souffrance psychologique des éleveurs reconnue par les régimes de sécurité sociale, l'orientation des budgets agricoles pour faire face aux dégâts du loup, .…
Voici des pistes pour les prochains articles !
Les loups, encore ! Evidemment que la proportion des citadins écolo-bobos penche en faveur de ce prédateur qui décourage les éleveurs. Le Gouvernement se doit de penser à ces éleveurs plutôt qu'aux écolos des villes assis dans leurs fauteuils.
C’est navrant de voir que dans un pays qui a les moyens financiers et scientifiques comme le nôtre que la bêtise et les conflits d’intérêt sont les maîtres du jeu politique! Les grands prédateurs jouent un rôle écologique inestimable qu’aucun chasseur n’est capable d’envisager. Il préserve la forêt et sont un indicateur de la bonne santé de notre biodiversité.
Shameful. Human greed strikes again