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Cinquième Suisse | De bons ambassadeurs devenus des parasites?

31.01.2025 – Denise Lachat

Ces derniers mois, les Suisses de l’étranger ont fait face à un désintérêt, voire à des critiques acerbes. La Suisse est-elle moins bien disposée à leur égard? Y a-t-il du désamour dans l’air? La «Revue Suisse» a interrogé à ce sujet des responsables politiques que la Cinquième Suisse intéresse tout particulièrement.

L’ordre du jour n’était pas vraiment festif en cette période de l’Avent. «Réduction des prestations pour les Suisses de l’étranger»: tel était le sujet de la réunion de décembre de l’intergroupe parlementaire «Suisses de l’étranger». Au lieu des froufrous du papier cadeau, c’est à janvier que l’on pensait, avec ses caisses vides et ses régimes minceur. Oui, le Conseil fédéral veut progressivement dégraisser le budget et, ce faisant, il ne ménage pas la «Cinquième Suisse». Le montant de près de 19 millions de francs alloué chaque année à l’offre d’information de la SSR pour l’étranger? Biffé. Cette mesure concerne le site web italophone tvsvizzera.it, la collaboration avec les chaînes de télévision internationales TV5MONDE et 3sat, et surtout la plate-forme Internet en dix langues swissinfo.ch, financée pour moitié par la SSR et pour moitié par la Confédération. Sans subvention fédérale, cette plate-forme n’a presque aucune chance de survie.

Le plan d’épargne du Conseil fédéral touche également les subventions pour les relations avec les Suisses de l’étranger et le montant alloué à l’association «educationsuisse», le centre de coordination des écoles suisses à l’étranger; jusqu’ici, la Confédération finançait près d’un tiers de leurs dépenses. Après une première baisse des subventions pour 2025, l’Organisation des Suisses de l’étranger (OSE) doit elle aussi s’attendre à de nouvelles coupes substantielles dans les allocations étatiques.

De plus en plus souvent, elle entend des déclarations comme: «C’est bien de leur faute s’ils sont partis à l’étranger», dit conseillère nationale Elisabeth Schneider-Schneiter. Photo Danielle Liniger

Signaux d’alarme

Dans ce contexte, l’OSE s’est immédiatement opposée à ces plans d’épargne par un courrier envoyé au Conseil fédéral. Cependant, la réduction des prestations va bien au-delà du paquet d’économies. Dans les faits, les messages négatifs adressés aux Suisses de l’étranger se multiplient. La conseillère nationale Elisabeth Schneider-Schneiter (BL, Le Centre) n’est pas la seule à avoir perçu des signaux d’alarme ces derniers mois. L’état d’esprit de la Suisse vis-à-vis de ses citoyens de l’étranger s’est dégradé, «et même beaucoup», déclare la politicienne expérimentée. De plus en plus souvent, elle entend des déclarations comme: «C’est bien de leur faute s’ils sont partis à l’étranger». D’après Elisabeth Schneider-Schneiter, la position des cantons dans lesquels la Cinquième Suisse ne peut pas participer à l’élection des conseillers aux États va dans le même sens, et toute volonté de changer cet état de fait est absente. Les expatriés n’ont qu’à revenir en Suisse, lui a-t-on par exemple répondu. La conseillère nationale se dit aussi «vraiment estomaquée» par le rejet de son postulat pour une meilleure couverture d’assurance-maladie. Pour elle, il s’agit là d’un mauvais signe: «Car je suis certaine qu’à l’arrivée, on économiserait même de l’argent.»

Les exemples susmentionnés reflètent un désintérêt face aux préoccupations des Suisses de l’étranger, que la conseillère nationale saint-galloise Barbara Gysi (PS) constate aussi au sein de la population: «Globalement, je dirais que le peuple ne pense pas tellement à la Cinquième Suisse».

«Des citoyens gratuits»

Ce désintérêt est désagréable pour les personnes concernées. Mais l’accusation de parasitisme est plus grave: lors de la campagne de votation sur la 13e rente AVS (voir «Revue» 3/2024), la «Neue Zürcher Zeitung» a parlé de «citoyens gratuits», qui aimeraient bien toucher plus de rentes, mais qui, contrairement aux Suisses vivant en Suisse, ne cofinancent pas ces dépenses supplémentaires. Et le journal de se demander, dans la foulée, s’il est bien normal que les citoyens suisses conservent leur droit de vote indépendamment de la longueur de leur séjour à l’étranger.

Nos concitoyens expatriés, que l’on aime d’ordinaire à décrire comme les bons ambassadeurs de la Suisse à l’étranger, sont-ils donc devenus des profiteurs d’un jour à l’autre? Le conseiller national PLR Laurent Wehrli (VD) est heurté par ces reproches. Lui aussi perçoit un sentiment négatif croissant vis-à-vis des Suisses de l’étranger. Tout comme le conseiller national Vert Nicolas Walder (GE), pour qui ces propos sont «choquants et dénigrants»: «Comme si l’argent versé en faveur des Suisses de l’étranger était de l’argent perdu!» Il regrette que l’UDC propage une vision très nationaliste de la citoyenneté. Car dès lors, les personnes qui vivent un certain temps à l’étranger sont perçues négativement.

«Les Suisses de l’étranger sont des Suisses»

Le conseiller national UDC Jean-Luc Addor (VS) s’inscrit en faux, du moins à titre personnel, contre cette idée. Il souligne que «les Suisses de l’étranger ne sont ni de mauvais Suisses, ni des demi-Suisses. Ce sont des Suisses.» Contrairement à ses collègues du Parlement, il ne constate aucun changement d’attitude global vis-à-vis de la Cinquième Suisse. Mais il prévient qu’il ne faut pas trop tirer sur la corde qui relie les Suisses de l’intérieur et ceux de l’étranger. Ce que font, d’après lui, les projets d’économie de la Confédération concernant Swissinfo. Une position intéressante pour quelqu’un qui fait partie du comité «200 francs, ça suffit», dont l’initiative veut réduire massivement les subventions de l’État à la SSR. Jean-Luc Addor explique qu’il veut que la SSR se limite à son mandat de base. Le mandat pour l’étranger fait partie de ce dernier: «Par conséquent, il ne faut pas toucher à Swissinfo.»

Approfondissement et débat

Vous trouverez les déclarations complètes des six responsables politiques interrogés sur l’état d’esprit du monde politique à l’égard de la Cinquième Suisse dans l'article Quel est l’état d’esprit du monde politique à l’égard de la «Cinquième Suisse»? Six réponses. Les lecteurs peuvent y commenter le débat.
 
 

Les personnes interrogées sont unanimes sur un point: l’image de profiteurs a été attisée par les reportages des médias qui montrent de riches retraités suisses se dorant au soleil au bord de piscines dans le Sud. Barbara Gysi: «On imagine souvent que les Suisses de l’étranger, avec les moyens dont ils disposent, ont un meilleur niveau de vie à l’étranger qu’en Suisse. Hélas, on oublie souvent que nombreux sont les retraités qui partent s’installer à l’étranger par manque de moyens, et qu’ils ont payé des charges sociales en Suisse pendant toute leur vie professionnelle.»

À ses yeux, les interventions concernant les assurances sociales sont particulièrement choquantes. C’est le cas, dit-elle, de la suppression des rentes pour enfants demandée par le Conseil national. Dans ce débat-là aussi, l’argument du parasitisme a été avancé. Près d’un tiers des rentes pour enfants sont versées à l’étranger, a-t-on entendu au Parlement, et le «Tages-Anzeiger» a souligné que ces rentes sont très souvent demandées en Thaïlande, aux Philippines et en République dominicaine. En omettant de dire que cela concerne peu de pères en chiffres absolus et que les rentes versées en Suisse dépassent de loin celles de l’étranger.

Elisabeth Schneider-Schneiter secoue la tête: «S’il devient de moins en moins intéressant de s’expatrier, les entreprises suisses à l’étranger ne trouveront bientôt plus de main-d’œuvre suisse». Les représentants économiques devraient s’intéresser à ce sujet, comme elle le souligne à chaque occasion à l’étranger.

Le politicien PLR d’Appenzell Rhodes-Extérieures Andrea Caroni a quant à lui depuis toujours une position critique et a notamment déposé plusieurs interpellations concernant le droit de vote à vie. Il ne trouve «pas normal que des personnes qui n’ont jamais vécu en Suisse ou qui n’ont pas l’intention de revenir s’y établir aient le droit de vote et d’éligibilité alors qu’un étranger bien intégré en Suisse n’a pas son mot à dire sur des sujets qui le concernent directement», déclarait-il à Swissinfo en 2019 déjà. Andrea Caroni ne souhaite pas s’exprimer sur les questions politiques actuelles, rappelant une tradition ancrée dans la politique suisse: cette année, il préside le Conseil des États – or, les présidents des Chambres doivent mettre provisoirement en sourdine leurs convictions politiques.

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Commentaires :

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    Alex Hauenstein, Schweiz 11.03.2025 à 11:20

    Der Bericht zeigt mir einmal mehr, wie wichtig aktive Vereine im Ausland sind, wie wichtig auch aktive ASO-Direktmitglieder sind. Gerade die aktuellen Wahlen zum Auslandschweizerrat zeigen wie wichtig Auslandschweizer für das Ausland sind. Ihre Arbeit in ihren Wohnländern sind ein wichtiger Beitrag zur Präsentation von Swissness, Präzision, Verlässlichkeit und «Behavior». So erlebt an der Online-Wahlveranstaltung der ASO Deutschland am Sonntag, 9. März. Viele der Kandidierenden arbeiten in Deutschland nicht nur für dort niedergelassene Schweizer Unternehmen. Sie sind teilweise in leitender Funktion für Deutsche Unternehmen oder gar selbstständig tätig. Sie bringen sich dort mit ihrem in der Heimat erworbenen Arbeits- und Kulturgut prägend ein. Und deren Arbeitgeber – sofern sie nicht selbstständig arbeiten – erlauben/ermöglichen ihnen ihre Kandidatur sogar gerne, weil sie den unternehmerischen Benefit sehen. Und den genau sehen die Inlandschweizer Bürger:innen und Politiker:innen eben nicht. Weil sie nicht hinschauen, sich nicht informieren und sich auch nicht wirklich dafür interessieren. «Pfläschterlipolitik» ist in der Schweiz schon immer beliebt. Wenn ich dann z.B. auch noch sehe, welche enorme Ehrenamtsarbeit viele Auslandschweizer:innen – nicht nur innerhalb der ASO, der Vereine oder auch beispielsweise in der Stiftung Auslandschweizerplatz – weltweit leisten, dann stellen sich mir die Nackenhaare auf. Und genau darum ist und bleibt die Auslandschweizer-Organisation mit SwissCommunity und der «Schweizer Revue» so enorm wichtig. Wenn auch deren Leistungen «wegbrechen» sind weit über 800'000 Landsleute von der Heimat «abgeschnitten» und werden nur noch von den Konsularischen Diensten betreut. DAS genügt auch im digitalen Zeitalter keinesfalls. Auslandschweizer:innen sind in erster Linie Menschen und kein Verwaltungsgut. Hier müssten auch die Internationalen Ableger der Schweizer Parteien viel kräftiger «ins Horn blasen» und ihre Aufgaben als politisches Sprachrohr noch stärker wahrnehmen. Nicht nur im Ausland auf Stimmenfang für Wahlen gehen.

    Alex Hauenstein, Präsident Stiftung Auslandschweizerplatz, ehemaliger ASO-Delegierter für Deutschland und Vorstandsmitglied der GLP International, Mitglied (und ehemaliger Präsident) beim Schweizer Club Aachen 1891 e.V.

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    Annie Kluser, Portugal 10.03.2025 à 10:56

    Je pense qu’à une époque où l’on parle de mondialisation et la possibilité de voyager et résider n’importe où dans le monde on arrive à un tel discours! Pourquoi avoir signé des conventions avec certains pays et mis en place des règles de plus en plus compliquées à appliquer? Il vaudrait mieux revenir à une imposition simplifiée à la source pour les rentes versées par chaque pays aux retraités et ainsi chaque état pourrait avoir une contribution directe sur ses versements et éviter des déclarations casse tête sources de complications.
    Depuis des années nos dirigeants compliquent l’administratif pour essayer de tirer plus de profit pour ensuite ne pas reconnaître leur responsabilité dans la situation actuelle.
    Pour un pays qui accueille autant d’étrangers, une telle mentalité vis à vis des Suisses de l’étranger est inacceptable.

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    Dietrich Boehlen, Antignano d'Asti, Italia 05.03.2025 à 10:12

    La Suisse qui est perçue comme une société, qui repose sur la Finance, ne peut agir diversement comme cela! Dire que les Suisses, qui vivent domicilié à l’étranger ne cofinancent pas les dépenses de l’état suisse, témoignent simplement de la pure ignorance! Un rentier, aussi bien domicilié en Suisse que domicilié à l’étranger, d’habitude a fait des économies durant sa vie professionnellement active! L’habitude des vieux temps de cacher ses économies sous un matelas ne se fait plus souvent ou seulement pour le montant qu’on veut absolument avoir à la maison. Les économies très souvent reposent en banque, parce que durant la vie professionnelle chacun a du s’organiser pour recevoir sa paye et de se confronter avec les frais à payer! Vous souvenez du cahier postale jaune avec lequel on allait à la poste pour payer ce qu’on devait, ayant retiré l’argent auprès d’une banque ou ayant déjà – pour les progressistes – un compte postal. Online-Banking a certainement aidé à économiser à divers niveau: entrainement sportive / facilité de gestion / etc.!
    Les économies en banque portent des intérêts, qu'à la fin d’année sont comptabilisés et soumis à l’impôt anticipé, si ce montant dépasse CHF 200.00! Les domiciliés en Suisse peuvent le faire valoir en faisant la déclaration du revenu. Les domiciliés à l’étranger par contre subissent des impôts de 35%, qui est non simple à récupérer – dépend du domicile à l’étranger. Et voilà, comme la cinquième Suisse participe au financement des dépenses de la Confédération suisse!

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    Monika Yunawan Bresch, Denpasar, Bali, Indonesia 04.03.2025 à 05:04

    Irgendwie verstehen die Politiker nicht, was Realität ist. Sollte ich in die Schweiz zurückkehren, müsste mich der Staat ganz klar unterstützen, da meine Rente nie reichen würde in der Schweiz zu existieren. Hier kann ich mit der AHV gut leben, also kann der Staat Schweiz sparen. Vielleicht nicht so viel Geld ins Ausland verschenken und mehr an die eigenen Bürger denken.

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    Alexandra Ngeno, Malindi, Kenya 03.03.2025 à 12:38

    Ich bin Pflegefachfrau HF und hätte niemals mit 56 Jahren in Frührente gehen können mit Wohnsitz in der Schweiz. Ich hätte mich bis 65 Jahren abrackern müssen und wäre dann selbst Patientin im Spital. Oder hätte gar mit dem Rollator zur Arbeit müssen, falls das Rentenalter noch höher gesetzt wird. Seit ich in Kenya lebe haben sich meine Rückenschmerzen verabschiedet, die Augen fallen mir nicht mehr am späteren Nachmittag zu und ich bin stressfrei. Ich zahle die freiwillige AHV ein, so dass ich auch im höheren Alter genügend Bares habe, um ein menschenwürdiges Leben zu haben. In der Schweiz wäre ich im Alter eine arme Kirchenmaus, die sich von Konfibroten ernähren müsste, wie soviele meiner ehemaligen Patienten, die ich als Pflegefachfrau begleitet habe. - Ich plädiere für eine erschwingliche minimale Krankenkasse für Auslandschweizer, da die Leistungen/Kosten im Ausland nicht mit den Leistungen/Kosten im Alter in der Schweiz verglichen werden können.

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    Armin Baur, New Milford/CT, USA 27.02.2025 à 13:26

    Ich habe die Rekrutenschule absolviert, WK’s gedient und in Udligenswil (LU) Zivilschutz geleistet. Von Oktober 1986 bis März 1998 habe ich AHV bezahlt inklusive den vollen Beitrag obwohl mir bewusst war, dass ich diese Gelder niemals zurückbekommen werde. Dass die SVP die 5. Schweiz nicht mag hat den Grund in der Tatsache, dass die SVP keine Auslanderfahrung hat. Die introvertierten SVP Mitglieder fehlt Bildung und Welt Erfahrung. Meine Familie (Baur) ist seit 1643 in Rafz ansässig. Ich bin Besitzer von Land in Rafz und zahle die Steuern. In meiner Jugend hat man mir in Rafz gesagt, ich sei ein Bauernbube und und brauche keine Sekundarschulbildung. Im Ausland habe ich das Gymnasium absolviert, Ingenieur studiert und ein MBA Studium absolviert. Als Mitglied der 5. Schweiz habe ich gute Arbeit geleistet und der Schweiz öfters zu gutem Namen beigeholfen. Jetzt soll mir ein SVP Mitglied sagen ich sei ein Trittbrettfahrer! Gerne würde ich die SVP besuchen und ihnen die Augen öffnen bezüglich der vielen guten Taten der Auslandschweizer.
    Herzlichen Dank, Armin Baur

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    Dr. Ute von der Heyde, Arle, Deutschland 27.02.2025 à 12:58

    Leider musste ich aus beruflichen Gründen die Schweiz verlassen, weil ich im Ausland bis jetzt berufstätig bin. Im Pensionsalter möchte ich in die Ostschweiz zurückziehen, wenn meine Pension dazu reicht. Die Teilnahme an den Wahlen ist für mich wichtig, da ich immer informiert bin und mich weiter zugehörig fühlen darf.

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    Felix Roshardt, Österreich 27.02.2025 à 11:16
    Ich lebe seit 15 Jahren in Österreich, beziehe seit 7 Jahren die AHV, habe also über 30 Jahre einbezahlt. Ich habe kein schlechtes Gewissen, dass ich diese hier im Ausland beziehe. Ich kann hier mit meiner AHV leben, aber in der Schweiz wäre es unmöglich. Ich müsste da Ergänzungsleistungen beziehen, Krankenkassen-Zuschüsse und und und. So wäre ich ein bisschen Schmarotzer, aber in meiner Situation - wie viele Antworten hier - sind wir weit weg von dieser sozialen Hängematten-Mentalität. Ich hätte gerne gewusst, welche Parteien - oder welche Politiker - solche Aussagen machen. Denen würde ich was pfeifen. Die können froh sein, bleiben wir im Ausland. Kommen wir alle zurück, dann wäre das Sozialsystem wirklich bedroht.
    Darf ich raten, aus welcher Ecke da geschossen wird? Eine Antwort hier brachte es auf den Punkt: auf Kosten der Randgruppen wird hier billigste Politik betrieben. Ich denke in jedem Land gibt es solche Hetzer und Zündler.
    Ich - Schmarotzer = Auslandschweizer und nach wie vor dankbar, dass ich die Schweizer Staatsbürgerschaft haben darf.
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    Francesco Di Giglio, Australien 27.02.2025 à 04:54

    I think this is unfair. I've been living in Australia since 2001, but I still pay Federal, Canton, and City council taxes in Bellinzona due to the property that I own. I don't use any of the services provided by the government for more than two weeks every couple of years. If they are going to take away my rights, they should forfeit my taxes, too. If they don't mind taxing me, they shouldn't mind me voting either.

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    Stuart Massion, Kushiro City, Japan 27.02.2025 à 00:30

    Mir kommt es so vor, dass Schweizer Wähler eigentlich so stimmen wie die Regierung es will. Ich bekomme immer Briefwahlunterlagen worin die Meinung und Empfehlung der Regierung sehr prominent gegeben werden. Entgegengesetze Meinungen bekommen nur sehr kurze Aufsätze, die oft sehr unprofessionell lauten und einen schlechten Eindruck machen. Wir Schweizer im Ausland stimmen deshalb meistens so, wie die Regierung es uns empfielt. Jetzt wollen diese Politiker uns das Stimmrecht entziehen? Da schiessen sie sich in den eigenen Füssen!

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    Karin Unkrig, München, Deutschland 26.02.2025 à 14:17
    Die Auslandschweizer:innen erfahren seit Jahren Benachteiligungen. Als ich 2017 von Winterthur aus nach München zu meinem Mann übersiedelte, wurde ich von den Winterthurer Behörden - insbesondere dem Steueramt - wie eine Steuerflüchtige behandelt… Ich kann nur in Ausnahmefällen ein Bankkonto in der Schweiz eröffnen, die Hinterlegung meines nach Schweizer Recht abgefassten Testaments glich einem Spießrutenlauf: Die Notariate meines Heimatortes schoben sich‚ das “heisse Eisen” gegenseitig zu.

    Umso erfreulicher sind die Veranstaltungen und Empfänge durch das Generalkonsulat in München, die auch eine gewisse Wertschätzung zum Ausdruck bringen, gerade gegenüber Menschen, die lange in der Schweiz/für die Schweiz gearbeitet sowie bei der Erbregelung soziale Lösungen für die Mieter:innen von Mehrfamilienhäusern in einer Großstadt gefunden haben.
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    Elsbeth Friedli, San Miguel de Allende, Mexico 26.02.2025 à 14:16
    Ich lebe seit 46 Jahren in Mexico. Meine Meinung ist ganz bestimmt, dass Schweizer Bürger, die im Ausland leben, kein Stimmrecht haben sollten. Wir können doch gar keine Meinung abgeben, wenn wir nicht in der Schweiz leben. Saludos, Elsbeth Friedli
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      Arye-Isaac Ophir, Israel 26.02.2025 à 14:21
      Da haben Sie teils recht, gerade wenn es sich um Fragen wie Autobahn und dergleichen handelt. Aber bei manch einer Abstimmung ist die Frage sicher längst keine typisch schweizerische, sondern eine Frage von allgemein weltlichen Zivilisationswerten, und, meine ich, da hat das Mitreden sicher seinen Sinn.
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        Alex Hauenstrein, Schweiz 11.03.2025 à 11:27

        Grüezi Frau Friedli
        Bei allem Verständnis für Ihre persönliche Situation darf Ihr Votum nicht generalisiert werden. Es gibt im weltweiten Ausland sehr viele Schweizer, denen das Geschehen in der Heimat - auch nach langen Auslandjahren (ich selber war 20 Jahre in Deutschland beheimatet) - sehr wichtig ist. Denn sie sind und bleiben Schweizer Bürger und schon daher müssen sie das Recht haben ihre Stimme 'zuhause' geltend machen zu können.
        So betrachtet, kann ich auch dem Kommentar von Arye-Isaac Ophir nur bejahend zustimmen. Die Auslandschweizer bringen ihre Sicht auf das internationale Geschehen mit ihrer Stimme in der Schweiz ein. Die Schweiz ist 'keine Insel'.

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    Thomas Hehlen, Thailand 26.02.2025 à 14:16
    Ich bin 66 Jahre alt und lebe nun seit 2 1/2 Jahren in Thailand, im Isaan, zirka 2 Autostunden östlich von Udon Thani. Ich bin mit einer Thailänderin verheiratet, die 7 Jahre jünger ist, also 59. Was mich stört ist die Tatsache, dass ich als Schweizer nicht in einer Schweizer Krankenkasse versichert sein darf. Was mich ebenfalls stört, dass auf meine Rente eine Quellensteuer von 7% abgezogen wird. Wozu? – Steuern darf ich bezahlen, aber keine Krankenkasse in der Schweiz haben. Für im Ausland Lebende könnte eine reduzierte Krankenkasse erlaubt sein, immerhin sind die Kosten für Spital etc. um ein Vielfaches günstiger. Man fühlt sich als Schweizer 3. Klasse, man hat sein Leben lang bis zur Pensionierung Steuern bezahlt und hat nun keinerlei Gegenleistungen.
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      Dietrich Boehlen, Antignano d'Asti, Italia 05.03.2025 à 10:24

      Wer zieht die 7% ab, die Schweiz oder Thailand? In Thailand müssten Sie vermutlich auch eine Art von Einkommensteuer bezahlen - welcher Staat verlangt das nicht! Ob Sie da mit 7% gut davon kommen müssen sie selbst überprüfen. Zudem, falls Thailand die 7% abzieht, sparen sie nebenher auch den Aufwand, eine Einkommenssteuererklärung dort abgeben zu müssen!

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    Manuela Brendler 26.02.2025 à 14:15
    Als alleinerziehende Mutter und dadurch teilzeitarbeitende (als Geschäftsleitung-Assistentin in mittelgrossen Konzernen) wäre es mir trotz AHV, Pensionskasse und zwei 3. Säulen nicht möglich gewesen als Rentnerin ohne Ergänzungsleistungen durchzukommen. Geld vom Staat anzunehmen, versetzt einen Menschen in eine unwürdige Position. Das wollte ich mir ersparen. Bitte schauen Sie sich doch auch an, was an den Ausgewanderten gespart wird. Der Preis, den wir alle bezahlen, ist die Sehnsucht nach Kindern, Enkeln, Freunden und das Heimweh nach der Schweiz. Ist das nicht schon genug? Beim Thema Abstimmen bin ich der Meinung, wer das Land verlassen hat und keine Steuern mehr bezahlt, soll auch nicht mitbestimmen können, wohin die Steuergelder fliessen.
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    Friedl Paierl, Thailand 26.02.2025 à 14:15
    Ich lebe seit der Pensionierung im Ausland, weil ich mir die teure Schweiz nicht mehr leisten kann! Nur mit der AHV und ein wenig von der 2. Säule erreiche ich nicht einmal das Existenzminimum! Noch Fragen? Ich habe immer brav in die AHV einbezahlt und nun sollen auch für solche Leute noch Angebote gestrichen werden.
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      Siegfried Schudel, Ubon Ratchathani, Thailand 26.02.2025 à 14:20
      Ja Friedl, bei mir ist es exakt gleich! Make the very best of it :-)

      > An die lieben Neider in der Schweiz: Ich vermisse die schönen Schweizer Berge zum Wandern und Skifahren, ich vermisse meine Töchter, ich vermisse die schönen Schweizer Städte und die Streetparade. Wir sind hier für die Behörden nur geduldete Ausländer, weil wir Devisen bringen.

      > Wer geht nach Deutschland billiger einkaufen? RICHTIG! Welche Firmen produzieren im Ausland, weil es dort billiger ist? RICHTIG! Wer bestellt online aus China? RICHTIG! Und auch wir Auslandschweizer haben ein Recht auf freie Wahl.

      > Bin SEHR froh um die 13. AHV-Rente, denn sie geht grad wieder drauf mit der neuen Thai Steuer für Ausländer.

      > Wir wären gerne bei einer Schweizer Krankenversicherung versichert. Die Schweizer Neider verbieten das - eine lose-lose-lose-Situation.

      > Ja, ich bin ein Schweizer, habe den Schweizer Pass und dazu gehört auch, dass ich wählen und abstimmen kann. Wer mir das wegnehmen will, soll sich schämen!!!

      > Es ist sooo schön hier in Thailand, die allermeisten Thais sind wirklich herzlich. Zwei Seelen wohnen ach in meiner Brust :-)
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    Lorli French-Tuescher, USA 26.02.2025 à 14:14
    Wohnhaft seit über 60 Jahre im Ausland, beteilige mich an allen Schweizer Aktivitäten. Schaue nur Schweizer Fernsehen, so gut es geht. Mit Stolz bei jeder Abstimmungen dabei, ausser bei Nationalratswahlen. Nach meiner Meinung sind Auslandschweizer sehr verbunden mit der Heimat. Kalifornien zeigt dies mit seinen über 20 Swiss Clubs.

    Mein Schweizer Sohn und seine Familie war noch nie bei Abstimmungen dabei. Es kommt wie es kommt, sechs Wochen Ferien gibt es sowieso und der dreizehnte Lohn auch. Lese den “Bund” oder die “Berner Zeitung” täglich. Abonniere die “Annabelle” seit über 40 Jahre. Die Aussagen bezüglich der Fünten Schweiz von gewissen Parteien sind unter der Gürtellinie. Sorry about my faulty German…
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    Mark Gasche, Portlaoise, Irland 26.02.2025 à 14:14
    Als "Leserbriefschreiber der Nation" (laut BZ) muss ich zugeben, dass die Zeiten und damit auch die Gesellschaften sich immer schneller ändern! Die Welt ist zum Dorf mutiert. Immer mehr Informationen führen zu immer mehr Verwässerungen und damit zu Fehlentscheiden. Wir nehmen uns die Zeit immer weniger, zu Ende zu denken! Was kommt nach der Dekadenz?
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    Arye-Isaac Ophir, Israel 26.02.2025 à 14:13
    Also bin ich ein Parasit? Wenn dem also nach gewissen Meinungsbildnern so ist - ein gutes Gefühl!
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    Christian Schneider, Linden, Deutschland 26.02.2025 à 14:13
    Zu Ihrem Artikel „Fünfter Schweiz weht kühle Brise entgegen“ möchte ich zwei Anmerkungen machen.

    Ich lebe seit 50 Jahren in Deutschland. Davor wuchs ich in der Schweiz auf. Nach der Schule absolvierte ich eine Lehre, Rekrutenschule, militärische Wiederholungskurse (WK) und arbeitete in meinem Beruf einige Jahre in der Schweiz. Dabei entrichtete ich u.a. Steuern und Sozialabgaben. Nach dreißig Jahren in Deutschland überlegte ich aus familiären und beruflichen Gründen, in die Schweiz zurück zu kehren. Interessant war damals die Reaktion, einiger, der in der Schweiz lebenden Familienangehörigen, Freunde und Bekannte. Sie vermittelten mir, ohne es verbal auszudrücken: Bleib lieber in Deutschland, wir sind gar nicht so erpicht, dass Du wieder zurückkommst. Du hast uns verlassen, so ein bisschen bist Du ein „Verräter“! Ich habe es tatsächlich vermisst, dass niemand sagte: „Ja, klar. Ich helfe Dir.“ Dieses Gefühl war ein wesentlicher Grund, nicht wieder in die Schweiz zurückzukehren. Eine Anmerkung dazu: Ich bin Mitglied im Schweizer Verein Mittelhessen. Habe mehrfach mit anderen Mitgliedern über dieses Thema gesprochen. Viele der Gesprächspartner hatten das gleiche erlebt.

    Der zweite Aspekt zum Thema: Es ist bekannt, dass Menschen, die zeitweise im Ausland leben, ein offeneres Verhältnis zu anderen Kulturen empfinden, als Personen, die das ganze Leben lang in der gleichen Umgebung leben, denen es wichtig ist, immer ihren Kirchturm sehen zu können. Demzufolge ist es nicht überraschend, dass Wahlergebnisse in der Fünften Schweiz eher liberal, sozialdemokratisch, grün ausfallen. Dass dies bei konservativen Kräften in der Schweiz nicht gut ankommt, ist, denke ich, einer der wesentlichen Gründe für deren Zorn auf die Auslandschweizer!
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      Verena Kleinadel, Ratingen, Deutschland 26.02.2025 à 14:19
      Hallo Christian, ich kann dich sehr gut verstehen. Auch ich lebe nun fast 45 Jahre in Deutschland, bin davor 27 Jahre in der Schweiz gewesen und auch dort geboren. Der Blick von aussen ist einfach erfrischend, sieht man doch alles durch eine andere Brille und hat doch etwas mehr Weitblick gewonnen, als die in der Schweiz gebliebene Schweizer. Bin mir sicher, dass man mich auch nicht mehr dort haben will. Aber was soll ich dort, meine Familie lebt hier. Mein Zuhause ist hier, aber die Heimat ist und bleibt die Schweiz, egal wie kritisch ich inzwischen alles sehe!
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    Jean-Luc Praz, Coronel, Chili 26.02.2025 à 14:12
    Est-ce vraiment une surprise qu'un groupe, que je crois trés réduit, considère les Suisses qui vivont à l'étranger comme des mauvais Suisses, ou des demi-Suisses? Je ne le crois pas, car de plus en plus le status d'étranger d'un pays rend la vie difficile. Dans le pays où je vis cela commence à ligéférer en pointant du doigts les résidents étrangers et donc qu'en Suisse on veuille faire de même pour les citoyens helvétiques ayant choisi une autre voie ne me surprend pas du tout.
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    Orlando Govi, Londrina/PR, Brésil 26.02.2025 à 14:12
    Cinquième Suisse… On ne saurait mieux faire à Berne, semble-t-il. Bien sûr, les Suisses à l'étranger sont une catégorie moins importante quoi, ils sont moins suisses que les suisses, non? Ceux qui quittent la Suisse pour l'étranger semblent moins Suisses que ceux qui quittent l'Étranger pour arriver en Suisse. Alors, pour améliorer notre budget il suffira de couper. Il vaut mieux dépenser l'argent des contribuables pour entretenir les migrants étrangers illegaux ou pour soutenir un apparat burocratique comme l'UE, qui nous dit quel doit être le diamètre des courgettes. Ou pour soutenir nos soldats dans un peace-keeping à l'étranger qui n'a pas de sens et qui mine profondément le peu qui restait de cette neutralité, qui il-y-a 40 ans encore était un "status" convoité et apprécié par le monde entier. Arrivera-t-on à penser que le passeport des Suisses à l'étranger n'a plus raison d'ètre? Pour certains de nos "Suisses", les Suisses à l'étranger ne sont plus des Suisses à part entière.
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    Serge Pellegrini, France 26.02.2025 à 14:11
    Que pensez-vous des frontaliers qui travaillent en Suisse sans y dépenser de l’argent et y payer peu d’impôts?
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      Friedl Paierl, Thailand 26.02.2025 à 14:18
      Das ist eine sehr gute Frage, worauf sie aber leider keine Antwort bekommen werden.
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    Claude-Alain Guyot, France 26.02.2025 à 14:11
    Expatrié depuis 27 ans, passionné de politique et d'actualité, mais je ne vote pas en Suisse! Il est déjà difficile de se faire une opinion lorsque l'on vit au pays, alors quand on en est loin, malgré les moyens d'information modernes, c'est vraiment compliqué! D'autre part, j'ai la chance d'avoir eu ma retraite à 60 ans en France, aurais-je voter pour porter celle des Suissesses à 65 ans? Voter pour des décisions qui ne nous seront pas appliquées, c'est vraiment délicat.
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    Guillermo Gobet, Argentina 26.02.2025 à 14:10
    Lamentable el sentimiento adverso, de los suizos hacia nosotros, los que vivimos en el extranjero. Mi abuelo llegó de Suiza en 1886 desde Bulle, Argentina lo recibió con los brazos abiertos , formó su familia, compro campo, fabricaba queso Gruyere, viajo a Suiza en más de una oportunidad y eligió volver. Aclaro que vino de Suiza expulsado por la pobreza de aquellos años como muchos suizos en la Argentina. Creo que la ignorancia, el sentimiento hermético y el egoísmo, invade el sentimiento de los suizos allí y de los políticos en particular. Gracias por permitirme expresar, un sentido saludo a todos, esperando un cambio en la sensibilidad y solidaridad de los suizos.
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    Guido Prampolini, Ungarn 26.02.2025 à 11:34

    Schade, nationalistischer Populismus scheint Dank auch der überbordenden Bevölkerung in der Schweiz mit gleichzeitig schwindenden verfügbaren Staatsfinanzen überhand zu nehmen. Es ist schlicht beschämend, wie die "Classe Politique" über Auslandschweizer beginnt zu denken. Soll ich als alter Sack zurück kommen und mal zünftig die Ergänzungsleistungen und Krankenkassen schröpfen ? Habe auch "nur" über 40 Jahre in der Schweiz fleissig Steuern etc ... bezahlt. Ein paar Zipperlein hätte ich schon, um mal Anfangen zu können ...

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    Leonardo Carena, Helsinki, Finnland 26.02.2025 à 09:51

    Vor der Abstimmung über die 13. AHV-Rente war ich im Austausch mit anderen Ausgewanderten als Gegner der Vorlage klar in der Minderheit. Unter Befürwortern, u.a. in Ländern mit bekanntermassen tiefen Lebenshaltungskosgten wohnende, wurde an den Gerechtigkeitssinn appelliert, weshalb sie Anspruch auf die geschenkte 13. AHV hätten. Geschenkt für uns Auslandschweizer, weil wir, anders als in der Schweiz Wohnende, diese nicht mitfinanzieren müssen. Swissinfo schrieb am 4.3.2024: ”Die Initiative für eine 13. AHV-Rente wurde in der Fünften Schweiz noch deutlicher angenommen als im Inland. Wie ist dieses Resultat zu deuten?” Im selben Artikel erklärte sich die Direktorin der Auslandschweizerorganisation ASO die starke Unterstützung der Fünften Schweiz vor allem durch die «Verarmung», die ein Teil dieser Gruppe erlebt habe. Stimmt sehr wohl und deshalb hadere ich mit der beliebten SRF-Serie ”Auf und davon”, welche laufend ein sehr verzerrtes Bild über die Auslandschweizer-Community zeigt, weil vor allem die Erfolgreichen gezeigt werden. Nun muss man sich wahrhaftig nicht wundern, wenn wir in der Schweiz zunehmend als Trittbtrettfahrende angesehen werden.

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    Philippe Clerc, Marsala (TP), Italie 26.02.2025 à 08:16

    Suppression de la rente de veuve: cette suppression poserait des problèmes insurmontables à certaines veuves, lesquelles ne peuvent recourir aux prestations complémentaires, ces dernières n'étant pas versées à l'étranger. Hors, lorsqu'un couple émigre, il se base sur la législation en vigueur et, actuellement, la veuve a droit aux 80% de la rente de son défunt mari. Ça change beaucoup de choses. Qui plus est, quand l'épouse est d'origine étrangère, on la renvoie aux prestations de retraite qu'elle devrait toucher de l'employeur qu'elle avait dans son pays d'origine, laquelle est parfois ridicule, voire inexistante (pays de l'URSS par exemple - réponse reçue du département concerné). Une Suissesse ayant acquis la nationalité par mariage est donc une Suissesse “de papier" et n'a donc pas les mêmes droits qu'une Suissesse "de souche". Je pense qu'une plainte auprès de la CEDH aurait de grandes chances d'aboutir. Après avoir passé toute ma vie active en Suisse, après avoir cotisé pendant une quarantaine d'années, il faut absolument que je "crève" avant l'entrée en vigueur de la nouvelle législation prévue pour assurer l'avenir de mon épouse après mon décès. C'est un comble. Je ne peux qu'encourager tout un chacun à intervenir auprès des conseillers nationaux pour lesquels il a le droit de vote.

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    Ernst Hinnen, Brasilien 25.02.2025 à 22:25

    Ich bin vor 27 Jahren ausgewandert, weil ich in der Schweiz mein Arbeitsplatz verloren und keine neue Arbeit gefunden hatte. Ich war 51 Jahre alt. Anstatt zu klagen habe ich den nicht einfachen Weg zu einer Arbeit im Ausland gewählt. Habe von dort meinen AHV Beitrag (meinen und auch den Anteil des Arbeitgebers) eingezahlt. Manchmal mit Schwierigkeiten, aber ich habe immer bezahlt. Ich fühle mich berechtigt die Rente zu erhalten.

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    Carlo Trinco, Buenos Aires, Argentine 25.02.2025 à 20:16

    Triste et lamentable, mais ça correspond au courant d'individualisme qui s'impose aujourd'hui un peu partout dans le monde.

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    Cécil Olivier Bonvin, Alsace, France 25.02.2025 à 17:42

    J'ai vécu plus d'une trentaine d'années en France, en région parisienne et suis revenu vivre en Valais récemment pour assister ma maman en sa fin de vie. Actuellement domicilié à Sion, je vis plus de 90% de mon temps en Alsace où j'avais acheté une maison que j'ai rénovée. Avec un métier d'artiste peintre et d'enseignement du dessin et de la peinture dans mon atelier d'artiste, avec moins de CHF 1000 par mois de retraite, avec CHF 165 par mois d'assurance maladie depuis que je suis en Suisse (4 ans) et même en louant l'appartement que j'ai hérité, j'arrive péniblement à moins de CHF 1800 par mois de retraite. Vivre en Suisse? Impossible. Même en occupant mon appartement à Sion et louant la maison que je possède en Alsace, j'arriverai difficilement à m'en sortir.

    Si j'avais vécu ces trente dernières années en Suisse, jamais j'aurais pu acheter une maison. En France j'ai acheté, rénové et revendu deux maisons qui m'ont payé la troisième. Et surtout je n'aurai pas pu vivre de mes activités professionnelles artistiques et culturelles. 

    Je crois que tout est dit.

    Meilleures pensées à tous, C. Olivier Bonvin

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    Michel Chatelet, France 25.02.2025 à 17:21

    Suisse retraité vivant en France avec mon épouse, nous avons la chance (grâce aux accords Suisse Cee) de bénéficier de l'assurance maladie Française, exemple: la gratuité et prise en charge totale de nos soins et pour mon cas gratuité maladie chronique avec soins dentaires et une partie des soins de confort. Autre remarque, avec une rente AVS modeste comme unique revenu quelles dépenses pour le canton de Genève? Il me semble que les Suisses établis à l'étranger sont une très bonne affaire pour la confédération.

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    Rolf Brunner, Walzbachtal, Wössingen, Deutschland 25.02.2025 à 17:10

    Schmarotzer? Wie soll man das verstehen? Meine AHV habe ich mir selber erarbeitet in der Schweiz! Für mein erspartes Schweizer Geld auf einer Schweizer Bank zahle ich x-mal mehr Gebühren als ein anderer Schweizer. Weshalb soll ich ein Schmarotzer sein? Nur weil ich mein Heimat- und Geburtsland immer noch Liebe? Ist das der Dank dafür, dass ich, wenn ich gefragt werde, nur Positives über die Schweiz berichte? Ich glaube da hat es in der Schweiz selber noch ganz andere Schmarotzer! Außerdem habe ich mein Militärdienst auch über dermaßen mehr als erfüllt. Also, wer ist hier ein Schmarotzer?

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    Daniel Walder, Manila, Philippines 22.02.2025 à 11:02

    Auslandschweizer = Schmarotzer? Als ich ins AHV-Alter kam, bin ich ausgewandert, denn mit weniger als 2000 Fr. kann man in der Schweiz nicht leben. Also spart der Staat viel Geld! Dazu kommt, dass ich nach 65 Jahren in der Krankenkasse ohne namhaft Bezug (bin dankbar dafür!) nicht mehr verbleiben darf. Was immer geschieht: Ich komme für alle Kosten auf, ohne Staatshilfe wie Prämienverbilligung, noch Ergänzungsleistungen, noch Sozialhifelbeiträge. In der Schweiz geblieben könnte ich all das beantragen. Also steht der Staat - weniger Ausgaben wegen den Auslandschweizern - finanziell besser da.

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    Max Obrist, Dettighofen-Kirchholz, Deutschland 21.02.2025 à 10:56

    Mit Sicherheit darf davon ausgegangen werden, dass alle Schweizerbürger:innen, sowohl jene mit Wohnsitz in der "Schweiz“, wie auch jene im Ausland, überzeugt sind, kompetente Politiker:innen als Vertreter für die Tätigkeit in Bundesbern gewählt zu haben. Wie aber dem Beitrag „Früher gute Botschafter, jetzt plötzlich Schmarotzer?“ in der „Revue 1/25“ zu lesen steht, glauben vereinzelte National- und Ständeräte die Entgleisung der „Neue Zürcher Zeitung“, anlässlich vom Abstimmungskampf, wo wir Auslandschweizer:innen offensichtlich als „Gratis-Bürger“ und „Schmarotzer“ benannt wurden, neu in die Diskussion aufnehmen zu müssen.

    Schämt euch, ein solch egoistisches Verhalten zu zeigen! Wer so wertvolle, im Kollektiv gewachsene demokratische Werte, wie z.B. unsere AHV, mit deren damals überzeugend gewählten Finanzierung und Zielen, so mit Füssen zu treten bereit ist, hat noch nicht begriffen, welche Inhalte politische Arbeit erfordert. Unsere Vorfahren haben weitsichtig die Weichen zur Erreichung des heute unbestreitbar gegebenen Wohlstandes in der Schweiz gelegt! Daneben haben unbestreitbar viele Auslandschweizer:innen während ihrer ganzen Berufsausübung beigetragen, die AHV mitzufinanzieren und damit den Pensionierten ein würdevolles Leben ermöglicht. Ganz zu schweigen von den unendlich vielen, nebenbei erbrachten unbezahlter Beiträge zur funktionierenden Demokratie, wie z.B. in Wirtschaft, Gesellschaft, Politik, Bevölkerungsschutz und Militär!

    Auch der Hinweis, dass AHV-Gelder in das Ausland überwiesen, nicht in die Schweiz zurück fliessen, ist unhaltbar. Die Frage an dieser Stelle sei erlaubt: Wie wollen diese auf Abwegen politisierenden Akteure künftig mit all jenen AHV-Bezüger:innen umgehen, welche täglich sehr viel Geld als Einkaufstouristen im Ausland deponieren? Sollen diese AHV-Konsumenten möglicherweise mit Strafzöllen rechnen müssen? Wenn nicht, könnte man diesen Personen mit Wohneigentum in der Schweiz ja auch noch den Eigenmietwert, das heisst bereits versteuertes Einkommen, erneut erhöhen und in Kauf nehmen, dass damit noch mehr AHV-Bezüger gezwungen sind, sich nach bezahlbaren Alternativen im Ausland umzusehen!

    Wenn schon gespart werden muss, wäre ja auch eine Reduzierung der Anzahl Parlamentarier:innen eine Möglichkeit. Dies würde auch Gelegenheit bieten, bei künftigen Wahlen und Abstimmungen die Anzahl Wahlzettel zu verringern! So oder so ein Irrsinn der beendet werden sollte. Im Kanton Aargau beispielsweise wurden bei den letzten Nationalratswahlen 52 Wahllisten in Umlauf gebracht, dies wurde mir auf Anfrage bei der Staatskanzlei so bestätigt!

    Also liebe Damen und Herren in National- und Ständerat, entscheiden Sie sich bitte für solidarische Sachpolitik und Beibehaltung aller politischen Rechte und Pflichte für uns Auslandschweizer:innen. Alle im Ausland lebenden AHV-Bezüger:innen sollen weiterhin selbst entscheiden dürfen, wohin sie Ihre verdiente AHV-Rente überwiesen haben möchten.

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    Monica Roth, Taroudannt, Marokko 20.02.2025 à 14:34

    Es ist bedenklich, wie schnell sich Meinungen und Haltungen ändern, auch in einem stabilen Land wie die Schweiz! Oft sind sich viele, auch Politikerinnen und Politiker, der positiven Auswirkung von guten Schweizer Mitbürgerinnen und Mitbürgern, die im Ausland leben, nicht bewusst. Vieles ist schon gesagt, aber als Selbstbetroffene, die in Marokko lebt, kenne ich auch die Kraft für eine Sympathie zur Schweiz, die wir Auslandschweizer vermitteln und bewirken können. Dazu kommt eine Art Entwicklungshilfe dazu, die die Schweizer Kasse in keiner Weise belastet! Das ist effiziente Werbung für unser Land und darüber hinaus eine Kraft für eine weltoffene friedliche Haltung in einer im Moment kranken, nationalistisch-orientierten gefährlich gewordenen Welt.

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    Armando Vazquez, Spanien 19.02.2025 à 08:30
    Als gebürtiger Spanier habe 50 Jahre in der Schweiz gelebt und gearbeitet. Jetzt lebe ich in Spanien, aber meine Familie ist in Schweiz – und mein Herz auch. Allen eine schönen Zeit!
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    Rachel Mazzucco, La Réunion, France 17.02.2025 à 07:33

    Saviez-vous qu'il n'y a pas plus Suisse qu'un Suisse de l'étranger? C'est un sentiment profond celui de son origine. C'est depuis que je suis partie et que j'ai rencontré les Suisses de l'étranger avec qui nous nous retrouvons que j'en prends conscience. Je découvre des parcours de vie exceptionnel. J'adore mon pays et celui dans lequel je vis aujourd'hui. Ne nous oubliez pas, car peut-être c'est vous demain qui partirez, peu importe la raison!

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    Brigitta Wyler Rudigier, Deutschland 13.02.2025 à 20:56

    Es gibt sehr viele Gründe, warum man als Schweizer:in seine Heimat verlässt. Mein Mann ist für mich in die Schweiz gekommen, da er beruflich als selbstständig Erwerbender freier war, als ich in meinem Beruf. Er war 18 Jahre in der Schweiz, obwohl er sein Einkommen in Deutschland erwirtschaftet hat. Normalerweise ist es umgekehrt, die Deutschen arbeiten in der Schweiz und wohnen in Deutschland. Seit März 2024 leben wir nun in Deutschland. Nun bin ich meinem Mann in seine Heimat gefolgt. By the way - in verschiedenen Ländern zu leben ist heute wohl normal…

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    Marlėne Romang, Kalamata, Griechenland 13.02.2025 à 13:20

    Vielen Dank für den Beitrag! Ich könnte mit der AHV in der Schweiz nicht leben - zirka 1450 Franken. Es würde den Staat viel kosten, wenn ich in der Schweiz leben wollte und Ergänzungsleistungen beantragen müsste! In Griechenland komme ich gerade über die Runden und habe eine griechische Spitalversicherung, sodass ich niemandem zur Last falle! Mit freundlichen Grüssen, Marlėne Romang

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    Arye-Isaac Ophir, Israel 09.02.2025 à 11:29

    Na ja, die Frage ob man als Auslandschweizer mehr Ausländer oder mehr Schweizer sei, hat schon ihre Berechtigung, schliesslich ist eine gewisse Zweigleisigkeit im Denkverhalten nicht von der Hand zu weisen. Anderseits ist diese Zweigleisigkeit zwischen dem sich manifestierenden Ich und dem eidgenössischen Begriff - in Anbetracht der schweizerischen Vielfachkultur - doch eben gerade etwas typisch schweizerisches, und die Antwort auf die Frage der Identifikation wird so oder anders rum wahrscheinlich immer nur eine subjektive sein können, meine ich.

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    Claude Hurard, Paraguay 08.02.2025 à 15:15

    Cada suizo en el extranjero es un punto de venta para producto suizo y recordar que suiza existe. En cada ciudad del mundo hay un maison suisse o casa suiza o en alemán o italiano. Somos poco pero importante. Somos embajador de nuestra nación. Porque tu vimos que salir. NO es por gusto. Pero igualmente amamos nuestra patria al igual o mas que los que viven en suiza. Aparthotel maison suisse du paraguay https://www.instagram.com/maisonsuisse

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    Wolfgang Wittenburg, Surrey, Canada 07.02.2025 à 22:33

    Jene, die sich über Auslandschweizer:innen foutieren, gar meinen “die seien ja selbst schuld, dass die im Ausland leben”, haben in der Schule weder im Geschichts- noch im Geographie- und Wirtschafts-Unterricht zugehört: 

    Geschichte: Das 'ewige Recht Schweizer zu bleiben, auch im Ausland, und selbst für im Ausland geborene Nachkommen von Schweizern', lässt sich von daher ableiten, dass die Alte Eidgenossenschaft für Jahrhunderte ein Export-Land hauptsächlich von Menschen war, 'Überschuss' sozusagen, der vom kärglichen landwirtschaftlichen Ertrag dieses Berglandes eben nicht mehr tragbar war und durch Umstände zum Auswandern gezwungen wurde, als Söldner in fremden Heeren oder später als Siedler in Amerika und anderswo.
    Bis zur Reform über die Gleichstellung der Geschlechter in der zweiten Hälfte des letzten Jahrhunderts war diese 'Vererbung' des Schweizer Bürgerrechts ausschliesslich Nachkommen 'im Mannesstamm' vorbehalten, deshalb oben ohne ':innen'. Im Zug dieser Reform mussten dann logischerweise gewisse Einschränkungen gemacht werden, d.h. im Ausland geborene schweizerische Nachkommen müssen sich jetzt vor dem 18. Altersjahr beim zuständigen Konsulat oder bei der Botschaft erklären, dass sie das Schweizerbürgerrecht für sich und ihre Nachkommen weiterhin behalten wollen.

    Geographie/Wirtschaft: Die Schweiz - ein kleines Binnenland, von der Katastrophe der zwei Weltkriegen weitgehend unversehrt geblieben - ist inzwischen eines der reichsten und stabilsten Länder der Welt geworden. Wie wohl? Innovation, Öffnung zum Ausland, weltweiter Handel, Pflege von internationalen Beziehungen, und dazu haben auch Auslandschweizer einen nicht unbedeutenden Beitrag geleistet, also bitte!

    Weiter zum Stimmrecht für Auslandschweizer:innen: Die Entscheidung, ob sie von politischen Rechten Gebrauch machen wollen oder nicht (wie es so auf dem Formular für einen meiner Enkel aufgeführt ist), sollte denen selbst überlassen werden. Ich selbst mache davon nach fast sechzig Jahren in Kanada keinen Gebrauch. Ich gehe dabei mit den Begründungen anderer Kommentatoren in diesem Forum einig. Das mag anders sein für die, welche sich nur für eine kurze Zeit im Ausland aufhalten, und deshalb sollte die Möglichkeit des Stimmrechts für Schweizer und Schweizerinnen im Ausland beibehalten werden.

    Last but not least, obschon wir hier vorallem die Folgen von Auswanderung besprechen, können wir auch nicht Einwanderung ausklammern. Ich nehme an, dass die etwa achthunderttausend im Ausland lebenden Schweizer und Schweizerinnen in der vorausgesagten '10 Millionen Schweiz' inbegriffen sind, oder handelt es sich dabei nur um Einwohner, nicht aber Bürger? Wie dem auch sei, das bringt die Frage mit sich, ob in einer direkten Demokratie auch langansässige Einwohner - aber noch nicht Bürger - das Mitspracherecht haben sollten. Man sollte meinen, dass die welche sich durch Mitwirkung an Abstimmungen mit der Schweizer Demokratie aktiv befassen wollen, deshalb inzwischen auch 'Gesinnungsschweizer' geworden sind, (wie wir im Ausland inbezug auf die respektiven Ländern in denen wir wohnen) und somit gäbe es dagegen, zumindest auf der Gemeindestufe, wenig einzuwenden.

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    Ernest Chambers, USA 06.02.2025 à 18:39

    My commune d'origine (place of origin) is Lutry. My father, Ernest Chambaz, left Switzerland as a young man to fight in World War I and then went to live in America. When I had enough money to buy a holiday home in Europe, I considered buying a place in Lutry. For the same price, I could buy a one bedroom apartment in Switzerland or a 50 acre farm in France. I bought the farm in France, but I am just a six hour drive to the Swiss border and frequently return to Canton de Vaud, where I always vote on the issues presented to me.

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    Jasmin Kaufmann 06.02.2025 à 17:38

    Ich habe mich darum bemüht, wieder in die Schweiz zurück zu kommen, aber das wird einem sehr schwer gemacht! Ich kann es mir schon nicht ökonomisch leisten. Dazu ist es sehr schwierig, eine Wohnung zu finden. Ich arbeite hier als anerkannte spazialisierte Krankenpflegerin und habe guten Lohn. Das Schweizerische Rote Kreuz hat mein Anerkennungsgesuch abgelehnt, was ja wirklich idiotisch ist. Soll zurück kommen, bei Null anfangen und vom Sozialamt leben? Das ist wohl kaum eine Alternative!

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    Christoph Bär, Bremen, Deutschland 06.02.2025 à 11:51

    Politik ohne Weisheit und Würde identifiziert fortlaufend Randgruppen und Minderheiten als Schuldige für alles Mögliche. Nun einmal wieder Bürger mit Wohnsitz im Ausland. Viele Auslandschweizer mit Aufenthalt in Deutschland und Frankreich verliessen das Land erst mit 65. Ihre schmale Rentensituation ermöglicht kein Leben in Würde in der Schweiz. An der Volksabstimmung zur 13. AHV-Rente nahmen manche gar nicht teil. Mein Vorschlag: Alle Alten kehren zurück, machen Ergänzungsleistungen und Sozialhilfe geltend, beanspruchen Wohnraum. Ist dem reichen Land damit aus seiner Not geholfen? Ferner gilt bis jetzt das Auslandschweizergesetz. Man halte sich daran - auch als Basher.

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    Jean Marc Born, Thailand 06.02.2025 à 10:49

    Immerhin zahlen im Ausland lebende Schweizer Rentner:innen, welche beruflich in Staatsdiensten tätig waren, eine Quellensteuer von 9-12%. Diese wird von der Pension direkt abgezogen. Die AHV hingegen ist steuerfrei.

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      Guido Prampolini, Ungarn 26.02.2025 à 10:38

      Nicht nur ehemalige Staatsdiener zahlen Quellensteuer. ALLE Auslandschweizer zahlen Quellensteuer auf ihre Pensionskasse. (Es sei denn, es gibt einen guten Trick, damit man diese NICHT bezahlen muss). Herzlichen Gruss von einem Auslandschweizer, der zur Pension ausgewandert ist, da er sonst in der Schweiz die Ergänzungsleistungen in Anspruch nehmen müsste. Und nein, er brät sich nicht das ganze Jahr den Wanst an der Sonne...

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    Rudolf Megert, Rio de Janeiro, Brasilien 06.02.2025 à 10:31

    Die Situation ist doch so: in der Schweiz ist es für Bürger wegen Wohnungsnot und Einkommensentwertung nicht mehr sehr wundervoll; da ist es leicht, neidische Gedanken zu hegen gegen alle Auslandschweizer. Die denken, alle denen gehe es besser - und vergessen darob, dass es derzeit in der Schweiz gar keinen Platz mehr hat für Rückkehrer, mal ganz abgesehen von den horrend hohen Lebenshaltungskosten!

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    Martin Siegrist, Australien 06.02.2025 à 05:17

    Viele Auslandschweizer haben ihr Leben lang AHV einbezahlt. Da hat niemand über die Vor- und Nachteile oder den Wechselkurs reklamiert. Ich hätte viel bessere Vorschläge, um Geld einzusparen: Wenn z.B. Beamte eine geteerte Strasse mit ca. 12% Gefälle mit einem Sandstreifen zwecks Stabilisierung des Bitumenbelages um 30 cm verbreitern wollen. Oder wenn diesselbe Behörde ein Grundstück "zwingend notwendig" zwecks verdichteter Bauweise erschliesen wollen, obwohl auf dem Grundstueck ein notariell verbuchtes Bauverbot besteht (u.v.m. Quartierplanung Boldern Männedorf), dann wäre es sicher sinnvoll und angebracht bei der Zahlung dieser Beamten zu sparen.

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    Johann Hans Tschudi, Pattaya,Thailand 06.02.2025 à 01:36

    Zu meiner Person: Ich bin Querschnittsgelähmt und lebte in der Schweiz. Nach der REHA, kam ich in ein Pflegeheim mit einer Rente von CHF 1950, kein Vermögen oder Immobilien und das Pflegeheim kostete CHF 6890. Also hat die Gemeinde und der Staat die Differenz begleichen müssen. Sie können mich ja nicht umbringen…

    Zum Pflegeheim muss ich leider auch sagen: Es war schlimm, Personal und Essen eine Katastrophe. Ein Rentner, der in Thailand lebt, hat mir dann erzählt, dass es da Pflegeheime gibt mit Vollpension, Pflege mit gutem, freundlichem Personal. Da wird man noch geschätzt im Alter. Leider reicht aber meine Rente nur sehr knapp und mir bleiben nur ein Taschengeld von CHF 37.90. Aber ich kann ihnen mitteilen: ich bin froh, habe ich diesen Schritt gewagt und kann hier in Anstand sterben.

    Also habe ich der Schweiz einen Gefallen getan, sie spart Jahr für Jahr viel Geld. Also bin ich kein Auslandschweizer, der die Schweiz schröpft. Wer in der Schweizer Bevölkerung eine Abneigung gegen die Auslandschweizer hat, sollte daran denken: Es werden alle einmal ALT.

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      Wolfgang Wittenburg, Surrey, Canada 11.02.2025 à 12:03

      Wunderbar begründet, und Ihr Pflegeheim in Thailand ruft Erinnerungen an den Film von 2011 hervor: ‘The Best Exotic Marigold Hotel’, das Sie, lieber Herr Tschudi, weise selbst gewählt hatten. Ein mögliches Geschäftsmodell für die ‘Sparer’ im öffentlichen Bereich - ‘outsourcing the Old’?

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      Dan Cunniah, Suisse 25.02.2025 à 18:48

      Bel exemple pour démontrer que la retraite coûte cher en Suisse. C`est ce qui a poussé beaucoup de suisses à émigrer.

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    Joel Baldenweg, Greece 05.02.2025 à 19:46

    And what about us Swiss working abroad doing our job and bringing so a good reputation about Switzerland? Is this not something worth to value for our dear countrymen and politicians who seem to be so concerned about the image of Switzerland on international platforms?

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    Oskar Schmid, Ottobrunn, Deutschland 05.02.2025 à 17:56

    Wer die Gültigkeit einer Staatsbürgerschaft in Frage stellt oder gar antastet, indem ein Unterschied eingeführt werden soll zwischen Schweizern, die im Ausland leben und solchen, die in der Schweiz leben, stösst eine Tür auf, die schwer wieder zu schliessen sein wird.

    Aus Deutschland gibt es den Vorschlag, dass Kriminellen die Staatsbürgerschaft aberkannt werden soll. Was kommt als nächstes? Mit solchen Vorschlägen wird eine Staatsbürgerschaft - bisher einer der wenigen sicheren Garantien, um auf ein paar tausend Quadratkilometern dieser Erde ein Aufenthaltsrecht zu haben - ausgehölt und völlig entwertet. Die Staatsbürgerschaft eignet sich nicht für Neiddebatten oder um gute und schlechte Schweizer:Innen gegen einander auszuspielen.

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    Josef Schnyder, Bangkok, Thailand 05.02.2025 à 16:14

    Jeder dritte Schweizer Franken wird im Ausland erwirtschaftet, und die Auslandschweizer spielen dabei eine entscheidende Rolle. Dennoch scheinen bei bestimmten Politikern beim Wort „Ausland“ alle Sicherungen durchzubrennen. Einerseits fordern sie eine Bevölkerungsobergrenze von 10 Millionen in der Schweiz, andererseits kritisieren sie die Auslandschweizer, weil diese ins Ausland ziehen und will sie bestrafen, indem man ihnen z.B. die Kinderrenten streicht. Ist ihnen denn ein Kind eines Auslandschweizers weniger wert als ein Kind in der Schweiz?

    Die Behauptung, Auslandschweizer seien für die Einführung der 13. AHV-Rente verantwortlich, ist nicht nur ungerecht, sondern auch falsch. Rentner, unabhängig davon, ob sie in der Schweiz oder im Ausland leben, haben nun mal für eine 13. AHV-Rente gestimmt. Dass viele Rentner ins Ausland ziehen, spiegelt nur wider, dass sie mit dem gegenwärtigen System in der Schweiz nicht mehr zurechtkommen.

    In Wirklichkeit sparen die im Ausland lebenden Schweizer Rentner dem Schweizer Steuerzahler erhebliche Kosten. Schweizer Rentner im Ausland verzichten auf Ergänzungsleistungen, Krankenkassenprämienverbilligungen und Gesundheitskosten, die beispielsweise in einem Spital oder Altersheim in der Schweiz anfallen würden.

    Es ist an der Zeit, diese Tatsachen anzuerkennen und die wertvollen Beiträge der Auslandschweizer zur Schweizer Gesellschaft und Wirtschaft zu würdigen, anstatt sie zu stigmatisieren und ungerechtfertigt zu beschuldigen.

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    Zeev Itzhak Tschan, Har Adar, Israel 05.02.2025 à 15:50

    Wenn ein Rentner im Ausland mit seiner Rente relativ gut überleben kann, in der Schweiz jedoch Ergänzungsleistungen beziehen müsste, wie belastet das die schweizerischen Kassen? Zudem: Viele von ihnen haben ein Leben lang in die AHV einbezahlt, und nun will man sie ihres Rechts berauben? Das ist schlicht schockierend! Die Schweiz sollte doch froh sein, etliche Sozialfälle weniger zu haben...

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    Renato Giger, Evergreen/CO, USA 05.02.2025 à 15:35

    Ich wohne seit 15 Jahren in den USA, bin noch immer sehr an allem interessiert, was in der Schweiz passiert. Und ich kehre nächstes Jahr wieder in die Schweiz zurück. Ich bin der Meinung, dass wer nicht mehr in der Schweiz wohnt, auch nicht mehr wählen und abstimmen sollte. Man kann auch diskutieren, ob das nur der Fall sein soll, wenn man noch eine andere Staatsbürgerschaft hat (ich kann auch in den USA wählen). Die Abstimmung zur 13. AHV Rente ist ein gutes Beispiel, man profitiert davon, muss aber nichts dazu beitragen.

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    Gertrud Jeffries, Lebanon/TN, USA 05.02.2025 à 15:11

    Am 15. Februar sind es 40 Jahre her seit ich auswanderte. Ich bin froh, dass ich mein Bürgerrecht in der Schweiz behalten konnte, als ich auch das Amerikanische Bürgerrecht erhielt. Und ich bin froh, dass auch mein Sohn den roten Pass hat. Es ist eine Versicherung, dass ich immer in mein Heimatland zurückkehren kann, sollte etwas wirklich schief laufen in meiner Wahlheimat.

    ABER - ich finde auch, dass ich als Auslandschweizerin, die keine Pläne hat in die Schweiz zurückzukehren, kein Recht habe, in der Schweizer Politik mitzumischen. Somit habe ich schon seit Jahrzehnten nicht mehr an den Abstimmungen teilgenommen.

    Auch mit der Rente ist es so eine Sache. Zwar habe ich einige Jahre zur AHV beigetragen, aber mein Beitrag ist so klein, es wäre besser, ich bekäme eine Rückerstattung des ganzen Beitrages, als vielleicht einen Fünfliber pro Monat.

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    David Cooke, Bangkok, Thailand 05.02.2025 à 14:17

    Ich lebe hier mit meiner Thaifrau seit 12 Jahren. AHV Einkommen: CHF 1480 monatlich. In der Schweiz geblieben, würde ich zirka CHF 2000 monatlich in Zusatzleistungen mehr bekommen. Vielleicht sollte ich zuruckkommen?

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    Isabelle Hachler 05.02.2025 à 14:06

    Ich bin entsetzt, dass wir Auslandschweizer jetzt plötzlich als Schmarotzer betitelt werden. Es ist nämlich genau das Gegenteil. Weil wir in der reichen Schweiz mit unserer AHV, die wir während über 40 Jahren einbezahlt haben nicht menschenwürdig leben könnten, sind wir ausgewandert. Weil wir keine Schmarotzer sein wollen und in der Schweiz KEINE Ersatzleistungen anfordern wollen. Hier in unserer Wahlheimat können wir hingegen ein gutes Rentnerleben führen. Es sei jedem dahingestellt, wo er das tun möchte, ohne das zu bewerten oder gar zu beleidigen.

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    Claudia Gubser, Alcobendas b. Madrid, Spanien 05.02.2025 à 13:59

    Ich bin jetzt 64. Ab dem 65. Lebensjahr muss ich entscheiden, ob ich die schweizer AHV oder die spanische beziehen möchte, da ich bereits viele Jahre in SPANIEN lebe. Da ich in beiden Ländern einige Jahre einbezahlt habe, erst in der Schweiz, dann in Spanien, wird uns EU-Bürgern eines der beiden Auszahlungsrechte gestrichen! Das war früher nicht so und ist absolut unfair! Schliesslich habe ich in beiden Ländern einbezahlt. 

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    Ferenc Balo, Ungarn 05.02.2025 à 00:15

    Grüezi, ich kann es nur bestätigen. Ich wohne auch in Ungarn, weil mein Einkommen nicht gereicht hat, mich und meine kranke Frau übers Wasser zu halten. Wir kommen so oft wie möglich in die Schweiz, um unsere Enkel zu besuchen. Glauben Sie uns, wir würden nur umso gern weiterhin in der Schweiz wohnen. Die teuren Wohn- und Gesundheitskosten machen es unmöglich. Freundliche Grüsse aus Ungarn!

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    Maria Luisa Kupka Morganti, München, Deutschland 04.02.2025 à 22:25

    Ich bin über die Äußerungen mancher Schweizer Politiker regelrecht geschockt. Mit welchem Recht werden wir alle pauschal der Schmarotzerei bezichtigt? Ich bin mit einem deutschen Staatsbürger verheiratet, habe ein Leben lang gearbeitet und könnte jetzt trotzdem nicht mit meiner Rente in der Schweiz (über)leben. Von der Schweiz bekomme ich eine Mikrorente, für die ich selbstverständlich eingezahlt hatte und ICH soll eine Schmarotzerin sein? Diese Herrschaften sollten in den Spiegel schauen und sich fragen, ob SIE das gute Schweizer Geld, was sie bekommen, auch wert sind. - Ich bin in Lugano aufgewachsen, habe dort noch Familie und liebe mein Land. Meine gute Ausbildung und die vielleicht typischen „Schweizer Eigenschaften“ wurden im Ausland stets geschätzt und bewundert (u.a. 4 Sprachen fließend) und ich kann mit gutem Gewissen behaupten, eine wertvolle Botschafterin meines Landes zu sein, was sich wiederum von der Politik nicht so ohne weiteres sagen lässt.

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    Pia Gygax, Norwegen 04.02.2025 à 19:21

    Nun grundsätzlich könnte ich gut damit leben nicht mehr an Abstimmungen teilnehmen zu dürfen und Wählen muss man wirklich nicht unbedingt, wenn man ausgewandert ist und der Wunsch nach einer späteren Rückkehr nicht besteht. Wer aber nur 3-5 Jahre im Ausland weilen möchte, der sollte sich auch politisch beteiligen dürfen.

    Was allerdings die Idee die AHV zu kürzen betrifft, finde ich es unmöglich an so was auch nur zu denken. Jeder Schweizer hat das Recht selbst zu bestimmen, wo er/sie seinen Lebensabend verbringen möchte. Es gibt leider immer mehr ältere Menschen, welche sich einen normalen Lebensstandart in der Schweiz nicht mehr leisten können. Auch gibt es viele welche gerne die letzten Jahre an der Wärme verbringen möchten und keine Lust haben auf die matschigen Winter und die verregneten Sommer in der Schweiz. Zudem ist es einfach eine Tatsache, dass die Schweiz nirgends ans Meer angrenzt und sich viele Leute aber genau das wünschen. Somit geht es niemanden etwas an, wo man seinen Lebensabend verbringt, und wie günstig oder teuer die Lebenshaltungskosten im Wunschland sind. Um so günstiger desto mehr kann man sich sonst leisten oder bleibt für die Kinder in der Schweiz übrig nach dem Ableben des Auslandschweizers.

    Es gibt viel Missgunst gegen über Auslandschweizern, weil es viele gibt welche gerne ausgewandert wären, aber ihnen einfach der Mut dazu gefehlt hat.

    Lasst doch jeden dort leben, wo er möchte und glücklich sein kann.

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    Christopher Rohrer, United Kingom 04.02.2025 à 17:59

    I am someone who considers himself Swiss through the influence of my late father who left Switzerland in 1946. I have always traveled with a Swiss passport. I have taken nothing out of the Swiss economy as my pension is paid by the UK government, but I have added to the economy by visiting when I can, as well as buying Swiss products, Lindt chocolate, wine. kirsch and cheese, for special occasions. Could I afford to live in Switzerland? No, even though I would like to, but my state pension and a very small private pension, would not be enough to rent, let alone eat as well there, so I will have to limit myself to visits when I can.

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    Corinne Boel, Dänemark 04.02.2025 à 17:11

    Grundlegend möchte ich hier festhalten, dass ich Schweizerin bin und bis zu meine Ableben auch bleiben werde. Auch nach 22 Jahre im Ausland hat sich daran nichts geändert. Ich bin in der Schweiz aufgewachsen und habe bis zu meinem 32. Lebensjahr in der Schweiz gearbeitet. Dass das Geld, welches ich damals einbezahlt habe, einmal ein kleiner Zuschuss zu meiner Rente sein wird, ist absolut logisch. Über Sinn und Unsinn des Stimm- und Wahlrechts kann man sich streiten, da ich ja nicht mit den direkten Konsequenzen leben muss. Ich muss jedoch sagen, dass ich heute stolz bin auf genau diese Rechte. Wir haben eines der ganz wenigen Systeme, welche ich eine wirkliche Demokratie nennen würde. Davor nehme ich den Hut ab und ich hoffe, dass es weiter so bleibt und meine Rechte auch weiterhin gewährleistet bleiben.

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    Dominic Büschi, Deutschland 04.02.2025 à 16:47

    In vielen Ländern verlieren Bürger die im Ausland leben ihr Wahlrecht. Ich finde das richtig. Warum soll ich im Ausland Entscheidungen treffen, die für mich keine (oder kaum) Auswirkungen haben, aber für meine Mitbürger in der Schweiz unmittelbar relevant sind?

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    Viviane Muhlethaler, Martinique 04.02.2025 à 15:40

    Je me suis envolée depuis 30 ans et suis très contente de mon sort. Par contre, je reviens chaque année en Suisse pour un mois visiter ma famille et mes amis qui ne peuvent pas voyager. Depuis deux ans, je suis un peu deçue de mon séjour. Bonne journée

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    Thomas Kessler, Brasilien 04.02.2025 à 15:38

    Liebe Mitbürger, es ist eine Frechheit, wie mit uns Auslandschweizern umgegangen wird.

    - Wahlunterlagen kommen erst, wenn überhaupt an, wenn Wahlen schon vorbei sind

    - Schweizer Krankenkassen tun sich schwer, Landsleuten eine Lösung anzubieten

    - Banken sind auch nicht erpicht, Konten in der Schweiz zu eröffnen

    Der Schweizerpass gibt uns das Recht, Schweizer zu sein. Die Politiker sollen sich mal überlegen, was passieren würde, wenn die über 800'000 Landsleute alle in die Schweiz zurückkehren würden? Das wäre teuer!

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      Zeev Itzhak Tschan, Har Adar, Israel 05.02.2025 à 15:52

      Absolut richtig. Als ich ausgewandert bin, hat die BEKB (Berner Kantonalbank) sofort mein Konto gekündigt. Andere Banken fordern horrende Gebühren. Gerechtfertigt ist das durch rein gar nichts.

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    Albert Moser, Dettighofen, Deutschland 04.02.2025 à 10:20

    Ich finde das unglaublich, da ich in meinem Berufsleben immer in der Schweiz arbeitete, also von 1971-2018 die gesamten Sozialabgaben entrichtet habe und nun von Leuten hinterfragt werde, die nicht über den Tellerrand hinausblicken. Die Liebe hat mich ins Badner Ländle direkt an der Grenze geführt. Zwei Kinder arbeiten auch wieder in der Schweiz, was soll diese bürgerliche Knausrigkeit...

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    Vera Stavemann, Hamburg, Deutschland 04.02.2025 à 00:43

    Obwohl ich in Hamburg lebe, verfolge ich täglich über die Online-Nachrichten, was in der Schweiz passiert. Ich bin durch und durch Schweizerin und merke im Ausland, wie wichtig mir unsere Werte sind. Die Vorstellung, nicht mehr abstimmen zu können, finde ich absurd.

    Leider habe ich auch festgestellt, dass wir Auslandschweizerinnen und -schweizer hohe Gebühren zahlen müssen, wenn wir weiterhin ein Bankkonto in der Schweiz haben. Angeblich aufgrund administrativer Gründe. Ich empfinde das eher als Schikane uns gegenüber.

    Uns zu sagen, wir seien selbst schuld, dass wir ausgewandert sind, empfinde ich persönlich als eine Beleidigung. Mein Respekt für mein Heimatland ist seit meiner Auswanderung eher gewachsen.

    Viele Auslandschweizerinnen und -schweizer, die im Ausland Geld verdient haben, können sich eine Rückkehr aus finanziellen Gründen gar nicht mehr leisten, zumal die Preise in der Schweiz exorbitant gestiegen sind und beispielsweise für Wohnungen teilweise nur noch Fantasiepreise verlangt werden.

    Wie so oft im Leben wäre an dieser Stelle etwas mehr Respekt gegenüber den Menschen angebracht, die sich aus welchen Gründen auch immer zur Auswanderung entschlossen haben.

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      Olivier Hüppin, Neu Boltenhagen, Deutschland 04.02.2025 à 18:31

      Hallo Vera, ich habe für uns eine günstigere Lösung des Post/Banken-Problems gefunden. Ich habe ein Grenzgänger-Konto bei der Sparkasse Hochrhein in Schweizer Franken für die Schweizer Zahlungen und ein Eurokonto. Ich musste nicht vorbei gehen, um das Konto zu eröffnen. Sie erklären es gut und helfen. Die Sparkasse Lörrach-Rheinfelden bietet ähnliches.

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        Guido Prampolini, Ungarn 26.02.2025 à 11:01

        Bei der ZKB und bei der BCGE sind die Gebühren (im Moment) für Auslandschweizer noch erträglich.

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    Simone Rahn, Bochum, Deutschland 03.02.2025 à 18:22

    Es ist immer schwierig, eine Kategorie Mensch über den Kamm zu scheren. Sicherlich gibt es viele verschiedene Gründe, Auslandsschweizer zu sein. Ich bin es durch meine Heirat geworden, und meine Tochter ebenfalls. Finanziell profitiert habe ich in keinster Hinsicht davon. Ich empfand es aber immer als ein sehr grosses Privileg, in meinem Heimatland abstimmen zu dürfen. Mein Hintergedanke war immer, falls ich einmal zurückkehre, dass ich möglichst die Schweiz vorfinde, welche ich in der ganzen Zeit mitgestaltet habe. Und tatsächlich ist meine Tochter seit einem Jahr in der Schweiz und auch ich kehre wieder zurück. Ich bin sehr dankbar für die Angebote für Auslandsschweizerinnen, die es uns erleichtern sollen, in der Schweiz wieder Fuss zu fassen. Ich hoffe sehr, dass sowohl meine Tochter als auch ich, die vielen Jahre der Erfahrungen in Deutschland mit einbringen können. Vielleicht als eine Art von Offenheit gegenüber unterschiedlichen Mentalitäten und Kulturen, mit welchem jedes Land seine ganz eigenen Herausforderungen hat. Ich habe nicht vor, in irgendwelcher Art oder Weise Profiteurin zu werden. Es wäre gut, wenn die eidgenössische Politik-Landschaft ihre Aussagen mehr differenzieren würde.

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    Hans Th. Weber, Frankreich 02.02.2025 à 23:54

    Wir beide haben ein ganzes Leben gearbeitet, einzig meine Frau hatte nach der Geburt des 1. Kindes während 7 Monaten keine Stelle. Die Babypause nach dem 2. Kind dauerte genau zwei Wochen (!). Wir sind nach der Pensionierung ausgewandert, weil wir nochmals etwas aufbauen wollten, was uns mit Erfolg gelungen ist. Heute gehören wir zur Generation 80+, die Rente vom ehemaligen Staatsbetrieb ist dieselbe wie 2003, und weil wir uns partout nicht scheiden lassen wollen, erhalten wir nach wie vor 150% der AHV-Renten, obwohl wir 2x 100% einzahlten. Zudem bezieht "meine Heimat" jährlich einiges über 4000 CHF an Quellensteuer. Wir haben für die 13. AHV gestimmt. Ich könnte ihnen einige Schmarotzer nennen, Eidgenossen die sich ihre Gesetze selbst zugeschneidert haben.

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    Yves Ketterer, Besançon, France 02.02.2025 à 16:56

    Né en Suisse d'un père suisse et d'une mère française, nous étions déjà (dans les années 60/75) un peu stigmatisés comme pas vraiment Suisses. M'installant en France à 18 ans, la première fois que je suis allé voter, un assesseur m'a dit "depuis quand les suisses ont le droit de vote en France?" ce à quoi je lui ai répondu que la demi citoyenneté n'existait pas et que j'avais le droit de vote au premier comme au second tour. 

    Je regrette tellement ces montées nationalistes qui vont, partout dans le monde, par toujours plus de stigmatisation des différences, réduire le multiculturalisme et appauvrir les esprits, les pays, les diasporas représentatives etc.

    Dans notre arbre généalogique familial, sur plus de 200 ans, il y a 19 nationalités représentées, de toute les régions du monde sauf l'Asie (malheureusement).

    Nous avons besoin des autres, c'est le replis sur soi qui est la cause des guerres et de l'instabilité; ouvrez-vous aux autres et le monde sera meilleur.

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    Martine Baecher, France 02.02.2025 à 16:17

    Je suis Suisse vivant en France, vote dans le canton de Berne, deux de mes enfants (sur 3) ont fait leurs études à Lausanne, et l'un d'eux vit en Suisse. Je ne vois pas d'où je profite de prestations suisses... ayant travaillé quelques années à Bâle, je perçoit une "nano" pension pour laquelle j'ai cotisé à l'époque. J'aime la Suisse et y vivrais volontiers si ma retraite française me le permettait.

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    Fabienne Burkhalter, France 02.02.2025 à 16:15

    Bonjour, j'aimerais répondre à M. le Conseiller Caroni que je suis d'accord qu’un étranger bien intégré en Suisse devrait avoir son mot à dire sur des sujets qui le concernent directement. Mais les Suisses résidant à l'étranger ne devraient pas pour autant être privés du droit de vote en Suisse. Comme ils sont étrangers dans le pays où ils résident (dans mon cas, la France), ils n'ont pas le droit d'y voter non plus. Voulez-vous donc qu'ils deviennent des apatrides privés partout de droits civiques?

    Par ailleurs, pour beaucoup d'entre nous, le coût de la vie en Suisse est beaucoup trop élevé pour que l'on puisse envisager d'y revenir après notre retraite, si grande soit notre envie de le faire. Vos propos sont infamants pour les Suisses résidant à l'étranger et je doute qu'ils soient conformes à la Constitution.

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    Giorgina Bernasconi, USA 02.02.2025 à 16:08

    Auslandschweizer sind sehr viele (Grössenordnung eine Million) und stellen nicht nur eine potentielle Arbeitskraft für Schweizer Firmen im Ausland dar, oder für unsere diplomatischen Dienste. Denkt an die Jugendlichen: kulturell Schweizer und welterfahren, stellen sie ein sehr wertvolles Potenzial dar, und könnten helfen, den Mangel an qualifizierten Arbeitskräften in der Schweiz mit weniger Integrationsproblemen lösen, sowie neue Ideen und Arbeitsmethoden bringen. Es wäre deshalb ein riesen Verlust für die Schweiz, educationsuisse abzuschaffen, viel mehr sollte es von Grund auf restrukturiert werden im Hinblick auf Auslandschweizer als wichtige wirtschaftlichen Ressource für die Schweiz, die Kommunikationskanale anpassen, und gezielt mit Auslandschweizerfamilien rechtzeitig Kontakte etablieren. Es ist deshalb auch wichtig, sich politisch für die Anerkennung von Maturitätszeugnisse aus Kanada und USA einzusetzen, und um Sprachkurse und Informationen über Studiengange für junge Auslandschweizer anzubieten, sowie bessere Verbindunen zwischen educationsuisse, den einzelnen Unis, Auslandschweizer-Organisationen vor Ort, und relevante Bundesämter, die sich mit der Entwicklung des Schweizer Arbeitsmarktes befassen. Verschwendet diese menschlichen Ressource nicht! Es hat auch Wissenschaftler, Unternehmer, Ärzte, Informatiker, Ingenieure und Krankenpfleger unter den Auslandschweizer, oder Jugendliche, die das gerne werden würden. Swissinfo ist ebenfalls extrem wichtig in dieser Zeit von fake News und Desinformation und erhöhtem Kriegsrisiko. Man kann sicher versuchen Kosten zu sparen, eine neue Vision zu erarbeiten, bevor man einen ganzen Dienst abschafft, es würde viel mehr kosten, es von neuem wieder aufzubauen. Die "Inland Schweiz" kann sich sicher mit der Perspektive der "Ausland Schweiz" in vieler Hinsicht einen internationalen Vorteil und eine Bereicherung erhalten, und weniger kurzsichtig denken, wie bei dieser Angelegenheit offenbart.

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    Yvan Cochard, France 02.02.2025 à 09:34

    Je suis allé habiter en France voisine pour acheter un bien. Le prix de location étant devenu excessif à Genève. La SSR, RTS que j’appréciais, en tant que Suisse, est devenue une télévision de gauche, qui informe avec ce prisme et qui en plus n’informe pas réellement. Pour entendre des infos «différentes, la objectives» il faut chercher sur les réseaux sociaux.

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    Jean-Marie Wicki, France 02.02.2025 à 08:23

    Ne croyez pas que les retraités sont pleins aux asses à l'étranger comment vivre en Suisse avec une rente de 1750 CHF sans 2ème pillier. Nous ne profitons pas sur la Confédération. En tous cas moins que certains politiciens en place.

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    Daniel Bolay, Saint-Raphaël, France 02.02.2025 à 07:38

    Je désire rentrer, mais étant retraité, ma retraite ne me permet pas de payer un loyer au prix que je vois en Suisse merci

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    Ana Hügli, Bolivia 01.02.2025 à 22:23

    Cada vez más, decepciona la percepción tan cerrada de algunos políticos suizos que no ven que una de las mayores riquezas de Suiza es su caracteristica manera de SER suizos. ¡Su esencia Suiza! Y ¿quien mejor representante que el suizo del extranjero para llevar la bandera de esa representación? En todo el Orbe, el ser suizo es un motivo de orgullo, es como una marca registrada y alrededor de ella se forman empresas e instituciones respetadas y consideradas como muy buenas por no decir, excelentes. El suizo en el extranjero, con excepciones, claro está, es considerado un ejemplo de trabajo, de idoneidad, de capacidad, de honestidad y no hay embajador afectado en cualquier país que represente mejor ante los pueblos, la esencia de calidad qué demuestra un suizo en el extranjero.

    ¿Por que se lo denigra calificándolo de "gorrón" cuando con su esfuerzo y dedicación pone en alto a Suiza? Paga su seguro médico y si cobra una renta, en caso de ser jubilado, es porque ahorró su dinero durante su vida de trabajo.

    Viajen un poco más señores políticos, vean con sus propios ojos lo que hacen los suizos en el extranjero y se convencerá de que no cuentan con mejores embajadores que ellos para despertar el deseo en mucha gente de visitar Suiza y alimentar de esa manera uno de los motores que hace funcionar el sistema económico suizo.

    O ¿están dispuestos a recibir una avalancha de más de 800.000 suizos retornando del extranjero para acogerlos en territorio suizo?

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      David Gremaud, France 14.02.2025 à 18:30

      Bonjour à tous les ambassadeurs bénévoles de la Suisse! J'estime aussi en faire partie car à chaque occasion en France, je défends notre pays contre certains préjugés nous concernant, recommandent certaines destinations touristiques aux Français, et mets en valeur notre modèle politique. Notamment l'initiative populaire, qui sera une des clés de la liberté et la paix politique pour les citoyens du monde entier. Et ce sont les Suisses qui montrent l'exemple, et se font ainsi admirés et respectés - autant que les révolutionnaires français sont encore vénérés à juste titre pour l'introduction de la Déclaration des Droits de l'Homme. Diviser les Suisses (y compris selon leur lieu de résidence), c'est affaiblir notre pays. Restons unis. Et souvent, c'est la vie qui amène une personne à l'étranger, pour des raisons de santé, d'amour ou de subsistance économique. La notion de choix est toute relative.

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